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Lajeannoise
Latitude:12.59442
Longitude:-61.41132
GPS location Date/Time:10/31/2013 19:29:07 EDT

Message:De retour aux Grenadines, Clifton, Union Is.

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Lajeannoise

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Il y a des journées comme ça!

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Encore des réparations! Il faut dire en commençant que tout travaux de réparations ou de maintenance sur le bateau, surtout la mécanique moteur, prend facilement 3 à 5 fois plus de temps que ce à quoi on pourrait s'attendre. C'est principalement dû au manque d'espace et manque d'accès. Sans oublier qu'il faut trouver les outils dans tous les recoins où ils sont cachés et souvent vider des coffres pour ouvrir un panneau donnant accès à la pièce qu'on veut réparer ou remplacer. Et même après tout ça, il faut encore faire des contorsions de tous genres dans des positions inconfortables pour réussir à dévisser le boulon qui donne toujours du fil à retordre, à bout de bras, du bout des doigts!

Donc tout commence par une première journée où je m'attaque aux filtres à essence du moteur. Les deux filtres, primaire et secondaire, sont changés sans trop de problèmes et je m'en tiens à ça pour cette journée. Le lendemain, pourquoi pas changer tous les filtres et l'huile de la génératrice. Pour la géné, c'est plus compliqué. L'accès est particulièrement atroce et le filtre à essence primaire a résisté et a donc nécessité un peu plus de force et d'ingéniosité avant de céder. Une autre journée assez bien remplie.

Tout semble être en ordre mais le lendemain, la géné s'arrête d'elle-même pendant qu'on fait de l'eau avec le dessalinisateur. Petit problème! Elle part et semble rouler normalement mais elle chauffe trop sans doute et s'arrête automatiquement. Ça semble indiquer un problème de refroidissement. Comme la sortie d'eau de refroidissement est sous la ligne d'eau (pour limiter le bruit), on ne peut pas voir si l'eau s'y échappe, alors ce n'est malheureusement que trop tard qu'on peut se rendre compte d'un problème. À force de recherche pour trouver le blocage, je conclus que "l'impeller" (roue à ailettes) est foutue et est à changer. La journée y a passé et il faudra s'attaquer à remplacer l'impeller de la pompe à eau dès le lendemain. Ce ne sera pas facile, la pompe est dans un recoin reculé et restreint de la géné qui elle-même est bien cachée dans son trou.

Hier matin tôt commence donc le travail. Angelo, du cata Émeraude, vient généreusement me donner un coup de main. À deux on s'encourage et la décision de détacher la pompe à eau au complet du bloc moteur, au lieu de seulement enlever le couvercle d'accès à l'impeller puisque pratiquement inaccessible, se prend plus aisément. Il a quand même fallu détacher plusieurs tuyaux et autres bidules pour réussir à enlever la pompe. Eurêka!, il manque plusieurs pales au vieil impeller et ça confirme que c'était bien le problème. J'en ai un autre dans mes kits de rechanges, alors tout est remis en état de marche en mi-journée. C'est une très bonne nouvelle car il nous fallait faire de l'eau, les réserves étaient basses. Une bonne affaire de faite malgré quelques nouvelles ecchymoses et écorchures qui seront vite guéries.

Nous sommes toujours à Tyrrel Bay, Carriacou. Le temps a été maussade avec vents forts et pluies fortes, alors on attend ici sagement avant de remonter dans les Grenadines où les mouillages sont en général plus à découvert. La prochaine semaine est propice, alors on quittera sans doute Grenade et Carriacou définitivement dans les jours qui suivent.

Et voilà le travail...!

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La grand'voile est maintenant réparée! Nous y sommes allés à la main finalement, afin de réutiliser les mêmes trous d'aiguille déjà existants et pour aussi utiliser un fil plus gros, ce que la machine à coudre aurait eu beaucoup de difficulté à faire.

Trois sangles fois deux côtés fois 3 coutures fois une quarantaine de points par couture fois 2 passes par point, ça donne environ 1500 points à la main. On y a passé 7 à 8 aiguilles, quelques gouttes de sang et un peu de sueur. Donc plusieurs heures de travail mais le résultat est sans aucun doute encore plus résistant que l'original. Les sangles sont beaucoup plus épaisses et le fil utilisé est aussi supérieur. Espérons que le tout est bon pour le reste de la vie de la voile.

Nous sommes toujours installés dans Tyrrel Bay à Carriacou. Le temps est à la pluie et au gros vent ces jours-ci, incluant des bourrasques à plus de 40 noeuds avant-hier soir et presque toute la nuit. La plupart des navigateurs ont commencé leur remonté vers le nord depuis Grenade, alors la baie ici est pleine à craquer et il arrive de nouveaux occupants à tous les jours. Il y a une bonne centaine de bateaux ici. La saison des charters aussi débute tranquillement, on voit de plus en plus de bateaux de location qui restent typiquement une seule nuit dans les différents mouillages qu'ils visitent. Les pauvres n'ont qu'une ou deux semaines pour profiter de tout ;-)

Nous voisinons les nouveaux amis du catamaran Emeraude, Angelo et Danielle. Quelques 5 à 7 sympathiques avec ces deux vétérans de la croisière dans les Antilles. Ils sont partis depuis 1986!


Un petit pépin!

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Chaque navigateur a son lot de mauvaises surprises et pépins à régler. Un bateau est toujours en mouvement sur l'eau, l'environnement salin et les intempéries font la vie dure aux différents systèmes et donc à plus ou moins long terme, il y a toujours quelque chose qui doit être réparée. Notre bateau n'étant pas très vieux encore, les choses ont été relativement tranquilles pour nous dans ce domaine, quoiqu'il y a toujours une chose ou une autre qui nécessitent un peu d'attention.

Aujourd'hui, alors que nous voilions vers Petit-St-Vincent depuis la Baie Tyrrel à Carriacou, un bris soudain est venu changer nos plans. Le point d'écoute de la grand voile a cédé d'un coup sous forte tension alors que nous voilions à bonne allure. Rien de trop paniquant, juste un gros "bang" et soudainement la grand voile qui n'est plus attachée à son point d'écoute et qui faseye de façon incontrôlée au vent.

Les trois courroies sur la photo sont toutes déchirées. Elles sont en principe attachées à une pièce en plastique ou quelque chose comme du PVC avec une poulie dans laquelle passe l'écoute de la grande voile. Elles ont cédé à force d'usure. Nous n'avons rien perdu, la pièce de plastique en question est restée en place sur l'écoute à l'extrémité de la bôme.

Nous étions tout près de Sandy Island, un petit îlot des plus pittoresque, alors, on enroule la grande voile d'urgence dans son enrouleur et décidons d'y faire un arrêt pour évaluer les dégâts et pourquoi pas profiter de ce site tout-à-fait paradisiaque.  Tant qu'à y être, promenade sur la plage, baignade et les enfants se sont bien amusés dans les dunes de sable.

Nous avons tout ce qu'il faut à bord pour faire la réparation, machine à coudre, courroies de rechange, fils, etc. Tout devrait être rentré dans l'ordre dès demain.

Ce soir nous sommes de retour à Tyrrell Bay, afin d'être un peu plus dans la civilisation au cas où nous aurions besoin d'aide ou de matériel supplémentaire pour la réparation. Voici d'ailleurs notre nouveau voisin ici. Rêverons-nous aux fantômes!

Sisters Rocks, Ile Ronde, Grenade

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Quelle délicieuse surprise! Sur notre route vers l'île Ronde, nous attrapons un beau thon, juste assez gros pour notre souper.  Ça faisait longtemps qu'on n'avait pas attrapé de poissons. Le thon en sashimi ou en pavée est selon toute la famille, le plus délicieux des poissons. On est bien content!


Pendant le trajet de quelques heures, j'en ai profité pour faire des petites tresses dans les cheveux de Maxim-Émanuelle. Un travail ardu mais bien joli.





Notre arrêt à l'île Ronde fût des plus agréables en compagnie de Prana et de La Jolie Julie. De belles
journées chaudes et ensoleillées où nous avons pu explorer les eaux limpides des lieux. L'eau y est tellement attirante, on peut voir le fond tout autour du bateau. Il y a de beaux récifs partout qui semblent de prime abord un bon endroit pour la langouste mais nous n'avons rien pêché et ce n'est pas fautes d'avoir essayé. L'attrait à ne pas manquer c'est les "Sisters Rocks situées juste à côté de l'île Ronde. Vraiment magnifique! Le site est accessible que par temps calme. Les rochers sont remplis d'oiseaux de toutes sortes qui survolent dans tous les sens. Un magnifique spectacle de voltige. Les fonds marins sont également d'une grande beauté. Attention! le courant y est fort, il n'y a pas d'endroit pour accrocher les dinghies et c'est trop profond pour une ancre. La meilleure option est d'avoir quelqu'un qui reste dans le bateau en attendant les plongeurs. On y aperçoit des murs de roches sous l'eau jusqu'à environ 40 pieds. Les crevasses fourmillent de poissons, la faune est riche de variétés et les couleurs nous émerveillent. On plonge en apnée le plus creux possible et on se laisse remonter le long de la falaise. Wow! Impressionnant! On replonge encore plus bas et on remonte lentement en scrutant les moindres détails du récif, en regardant dans tous les trous à la recherche de nouveautés. On ne se lasse jamais, seule la fatigue nous arrête. À la surface les couleurs semblent plutôt ternes. Il faut vraiment plonger car ce n'est qu'en s'approchant des récifs que l'on peut apprécier toute la beauté des fonds marins. On se sent privilégier de voir tout ça.

Mise au point sur notre itinéraire

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Toujours installés près de Calivigny Island depuis notre retour à Grenade, la vie se déroule paisiblement et sans trop d'histoires. Il faut quand même dire que le temps a changé un brin. C'est l'automne après tout. Après plus de deux mois où les vents étaient très faibles, la chaleur toujours accablante, on vit maintenant des journées plus venteuses avec quelques systèmes pluvieux qui viennent nous rafraîchir régulièrement. On appelle ça de la fraîcheur mais tout est évidemment relatif. Il fait en ce moment même à 20 heures un beau 30ºC dans le bateau avec tous les hublots ouverts et le vent qui heureusement nous garde de la lourdeur de l'humidité. Nous sommes si bien habitués à la chaleur que les petits frissons sont devenus un peu plus fréquents au sortir de la baignade maintenant.

Parlant de temps plus venteux, en début de soirée hier, un gros grain méchant est venu brasser le mouillage. Plusieurs bateaux autour de nous se sont mis à glisser et ont dû s'ancrer à nouveau. Aucun dommage heureusement. Un voisin a enregistré 50 nœuds de vent sur ses instruments. Notre ancre Rocna reste fidèle à elle-même et conserve son titre de n'avoir jamais chassé! Nous étions donc bien à l'abri dans notre cocon flottant pendant cette débandade!

Photo prise au point le plus au sud de notre
périple: 11º07N, sud de Tobago
Venons-en à notre itinéraire. Notre trajet prévu depuis le début inclut de faire le tour de la mer des Caraïbes en passant au nord du Vénézuela, Colombie, etc. Le plan B de simplement retourner au nord depuis Grenade en repassant par les mêmes îles des Antilles a toujours existé et est maintenant devenu notre plan A. La décision définitive n'a été prise que ces jours-ci. Notre compagnie d'assurance actuelle ne nous couvre pas au-delà de Tobago mais il est relativement facile de faire affaire avec une compagnie locale pour régler cet aspect. On a cependant envie de revoir plusieurs îles de la chaîne des Antilles et de faire tout ça dans la facilité et la simplicité. Ça nous permettra de profiter à plein du reste du voyage sans être pressé par le temps. L'aspect sécurité est à ne pas négliger aussi. Les côtes Vénézuéliennes entre autres sont moins sécuritaires. Il ne faut pas s'y retrouver seul dans une baie isolée au risque d'y subir crimes et violences. Bon, les rues de nos villes ne sont pas nécessairement mieux mais il faut dire que certaines situations nous rendent particulièrement vulnérables. Rien de mal à revenir sur nos pas à partir d'ici. Nous avons rencontré nombres d'équipages qui font le même circuit, Îles Vierges, St-Martin, Grenade à chaque année depuis plusieurs années. On ne s'en lasse pas et pour nous il y aura beaucoup à voir encore puisque nous n'avons pas tout exploré bien évidemment.

Nous reprendrons un rythme de navigation lente vers le nord d'ici quelques jours. Peut-être Noël à St-Martin, les Bahamas au printemps!

Dernière journée à Tobago

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Bye bye la verdure de Tobago
Nous avons passé notre dernière journée à Tobago à flâner sur la plage avec coupe de cheveux pour tout le monde. Une journée toute simple bien appréciée de chacun avant notre départ prévu lundi 4:00 am. Dernière soirée pour écouter le chant des cocricos, un oiseau bien caractéristique de Tobago.





Nous partons à la noirceur sous un vent encore calme. La houle est d'environ 3-4 pieds et le vent vient de l'arrière à 12-14 nœuds. On se fait bercer un peu mais ça va bien et on espère que le vent monte comme prévu. On décide de mettre le tangon car toute la traversée, d'une durée de 12 heures, se fera en vent arrière. On installe les lignes à pêche au lever du jour et pendant un instant on a cru avoir attrapé notre souper. Malheureusement c'était seulement une touche, la seule de toute la journée. Il y a bien longtemps que nous avons pêché du poisson. Croisons les doigts que cela reviendra bientôt!

Il ne s'agit pas du cocrico



À notre grande surprise, nous avons eu la visite de dauphins à quelques reprises au cours de la journée. ils étaient souvent en banc d'une vingtaine de membres avec de jeunes dauphins. Ils sont si gracieux et rapides et nous émerveillent à chacune de leur visite. On se précipite à la proue pour les admirer. Toujours un spectacle incroyable, on ne s'en lasse jamais!

Ligne de grains au loin
Youpie!, le vent se lève vers 10:00am. Il y a plusieurs grains qui passent de chaque côté de nous sans vraiment nous toucher à part pour le vent qui augmente à 22, 26 et même 35 nœuds, mais pas de pluie ou à peine. On est vraiment chanceux! On file à vive allure avec un génois rapetissé au maximum, à peine plus gros qu'un mouchoir. Wow on en revient pas, la combinaison vent, vague et courant nous permet de faire du 9-10 noeuds "non stop" pendant un bon bout. Nous avons même atteint un nouveau record de vitesse, soit 11.2 nœuds. Super cool! On est tout excité. Le bateau navigue tellement bien. Un peu d'actions rend la traversée stimulante. C'est après une navigation de 11 heures, 82 miles plus loin que nous jetons l'ancre à 3:00 pm, à Clarke's Court Bay, Grenade. On y retrouve plusieurs de nos amis bateaux. Nous devrons garder le pavillon jaune jusqu'au lendemain car les bureaux de la douane et de l'immigration sont déjà fermés.

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Latitude:12.00019
Longitude:-61.72845
GPS location Date/Time:10/07/2013 16:17:20 EDT

Message:De retour a Calivigny Island, Grenada!

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Ascension vers Flagstaff Hill, Charlotteville, Tobago

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Il est 8:00am et on sue déjà à grosses gouttes. Il y a des matins où on se demande vraiment pourquoi on aime tant faire des randonnées. C'est assurément la simplicité de la chose. La marche nous permet de découvrir au gré des sentiers toute la beauté de la nature qui nous entoure, de faire la connaissance de personnes du coin et de se garder en forme. C'est donc sur cet air d'aller que nous entreprenons ce matin notre ascension vers Flagstaff Hill à partir de Charlotteville. Nous demandons à un résident très gentil d'ailleurs quelques directions pour nous rendre au sommet de la montagne. Les locaux sont toujours surpris de nous voir marcher plutôt que de prendre un taxi ou l'autobus et ce, dans toutes les îles visitées. Ils semblent se dire «ils sont fous ces navigateurs de marcher sous cette chaleur!»

Sur le chemin on retrouve notre chien adoptif «Roxy». Elle nous suit partout dès qu'on arrive en ville jusqu'au retour au dinghy. Les enfants aimeraient bien la garder au bateau. Elle est plutôt mignonne!


Nous avons été gâtés côté oiseaux ce matin: pélicans, frégates, cocricos, perroquets, mot mot et plusieurs autres dont nous ne connaissons pas le nom malheureusement. Tobago est un paradis pour les ornithologues.


Côté température, nous avons eu droit à tout, passant du soleil ardent à la pluie diluvienne qui nous a donné quelques frissons. Nous étions complètement trempés. Heureusement notre sac imperméable pour la caméra et les papiers n'était pas loin. «Il n'y a pas de soucis!», comme disent les Français. Le bon côté de cette pluie c'est qu'il ne faisait pas trop chaud pour grimper les pentes, toujours plus hautes, toujours plus longues. Pendant près de 2 heures, nous avons marché dans un magnifique chemin en serpentin qui offrait des points de vues incroyables de la baie Man of War et de celle de Speyside.



Cette pluie torrentielle nous est tombée dessus!



















L'ascension sur un chemin asphalté se fait dans une pente à 25% sur presque toute la longueur et le dénivelé total est d'environ 1000 pieds. C'est sans équivoque notre plus haute ascension jusqu'à maintenant. Le point culminant est un phare qu'on voit très bien depuis le bateau sur le sommet le plus élevé des environs.






Une fois au sommet, nous comptions explorer un peu plus les alentours mais nous avons dû changer nos plans. Un beau taureau, plutôt antipathique, en a décidé autrement. Je me suis approchée pour prendre des photos et voir s'il nous laisserait passer gentiment. Il s'est mis à incliner la tête pour me défier et était prêt à charger si j'avançais un pas de plus. Il faut dire que notre Roxy l'avait un peu énervé avec ses aboiements. Nous prenons la sage décision de rebrousser chemin.









Pas de pluie pour le retour. Une très belle randonnée d'environ 3 heures. La journée se termine encore une fois sur un magnifique couché de soleil des plus coloré.

En passant par Englishman's Bay, Tobago

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Le groupe des mousquetaires a quitté Tobago et est de retour à Grenade. Nous sommes restés seuls à Tobago question d'y passer un peu plus de temps et d'y attendre une meilleure fenêtre météo. On attend  que le vent se lève afin de faire le trajet à voile. On prévoit du vent un peu plus fort ce dimanche et lundi. On se décidera bientôt sur un départ possible à ce moment. Il faut aussi dire que nous avons déjà passé plus de deux mois à Grenade, alors autant voir autre chose pour l'instant.

Nous avons tenté une visite à la chute "Argyle" il y a deux jours. Accompagnés de Marie Claire de Jolie Julie (ils n'étaient pas encore partis), on prend deux bus pour se rendre au lieu donné qui est près de Roxborough. A notre grand malheur, il a plu toute la nuit précédente et on se fait dire par un groupe de français qui sortait du site que la chute n'est pas accessible en raison de la crue et qu'en plus les moustiques sont très voraces dus à l'humidité. Aussi, avec ces fortes pluies, l'eau est d'une couleur café-au-lait, ce qui rend la baignade dans la cascade impossible de toute façon. Au moins, nous avons eu la chance de rencontrer ces français qui nous ont donné l'heure juste sur la situation et donc nous n'avons pas eu à payer les frais d'entrée pour rien, contrairement à eux.

Le groupe des mousquetaires est donc reparti hier. De notre côté, on s'est déplacé de Store Bay pour un retour à Charlotteville, notre point d'arrivée original à Tobago. Nous avons donc navigué la côte nord de Tobago et ainsi fait le tour complet de l'île. En route nous avons fait un arrêt de quelques heures à Englishman's Bay, une très belle plage encore une fois. En voici plusieurs photos.

















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